Sous un nuage d’écume les violons de l’hiver apprivoisent mes pensées en quinze gorgées de chocolat Paris s’enrhume, mon coeur aussi Sur l’asphalte engourdi se couche la neige crépitent mes larmes au pied d’un arbre dévêtu Paris se meurt, mon corps se glace Au creux de mes oreilles Schubert se noie dans mon chagrin en…