instantané poétique teinté d’un surréalisme léger… à la table du café noyé dans l’écume de ses mensonges le silence parade, démoniaque et vorace les chaises musicales tapent des pieds le soleil chante Saint-Amour, valet frivole un oeil sur la porte, l’autre sur son téléphone ses pensées volatiles jouent les mendiantes au bord de l’asphyxie malsaine…