Dans la chair nervurée d’une feuille blanche

tel un ermite sauvage caché dans les ténèbres d’or d’une grotte chiromancienne tissée d’espaces indicibles et de silences hantés le poète mûrit l’humanité en son coeur de vers de gemmes salines et de bourgeons de sang dans l’indifférence des saisons comme une flamme inlassable intuitive et frémissante dans la brise épanouie et suave d’un paradis…

« Il est des êtres qui ont… »

 « Il est des êtres qui ont le privilège d’être parmi les hommes comme des astres bienfaisants dont la lumière éclaire les esprits, dont les rayons échauffent les cœurs. » Honoré de Balzac   Photo : Alex Peplaw