au sommet des embruns
où l’ombre de Sarah Bernhardt nage avec le vent
les falaises ondulent comme les oyats
sur un tapis de lavande
une araignée tisse la lumière
et file l’espace d’un goéland argenté
sous sa crinière de feu
la lande galope jusqu’au phare des Poulains
et un lézard danse avec le soleil
dans la limpidité de l’eau
le silence entre les mots vagabonde et célèbre
la beauté d’un monde enchanteur, insulaire et laminaire
Texte & photos : MOONATH © ND
Beau poème. Bravo.
En plus d’un trés beau voyage, tu nous fait cadeau de ta poésie…
Tu nous gâtes..
Amities
Manouchka