Dans l’ombre nue d’un vent d’été
aux confins de l’inconsolable
où la mémoire parle au coeur
le ciel nomade à dos de larme
entre deux cumulus d’écume
sur les flots désorientés de la nuit
où le chagrin inonde l’horizon
l’oiseau bleu espace les étoiles
dans l’ombre nue d’un vent d’été
au-delà des aubes précieuses
où le souffle des âmes délasse la peine
l’appel du large devient phare
Texte : MOONATH © ND Photo : Ronan Follic Photographies
très joli
Egalement, très joli