sur la peau du vent
caresser les nuages en flammes
et se fondre aux larmes de la terre
comme un voilier
déchiqueté
par l’horizon inconscient
où le soleil
s’attache
à chaque atome du néant
sur la peau du vent
caresser les visages des âmes
et se fondre aux murmures de l’univers
comme une goutte de rosée
fertilisée
au coeur du mouvement
où la lumière
capte
l’essentiel en chaque instant
Texte : MOONATH © ND Photo de Shihya Kowatari
Très émouvant, merci pour le partage 🙂
Magnifique Moonath, gros bisous xxx
un très peau poème malgré le vent que je n’aime pas
A reblogué ceci sur Moonath – l'Univers des mots.