Deux yeux bienveillants chantent l’espoir du poète,
qui porte sur le monde un regard lumineux ;
vision claire d’humanité.
Sa flamme intérieure danse au rythme de ses pensées,
éclairées d’une ardeur de vivre, flambeau de sa liberté ;
étincelles singulières.
Ballet de cils ensoleillés de vers cristallins,
à l’ombre des secrets, au-delà de l’esprit malin ;
arabesques universelles.
L’iris de ses yeux est un bouquet d’amour,
où toutes les voix de l’âme s’épanouissent en choeur ;
éternel printemps.
Texte : MOONATH © ND Photo Megaphoto/facebook
Quel beau poème Moonath, bravo! J’aime particulièrement le dernier paragraphe:
« L’iris de ses yeux est un bouquet d’amour,
où toutes les voix de l’âme s’épanouissent en choeur ;
éternel printemps. » Absolument génial, merci et bon mercredi,
Gigi
Magnifique poésie, juste dose de rêverie qui m’emmène 😉
Grand merci pour cette merveille, belle journée !
merci Mesdames pour vos douces visites commentées…
bises du Sud Finistère…