« À l’heure où la route au milieu du désert
Laisse apparaître enfin le paradis sur terre
À l’heure où la tête sortie du brouillard
Se demande encore quel était ce rêve bizarre
À l’heure où la nuit décline et le jour
Emmène au loin les chagrins d’amour
À ton oreille et au monde entier
Je ne le redirai jamais assez.
Tu me désarmes tu m’ouvres à la vie
Je n’en attendais pas autant mon ami… »